Brouillards d’automne

Posted By on 13 octobre 2005

Je suis dans un état que je ne souhaite à personne,
Est-ce en ce moment caractéristique à l’automne ?
J’écris ces simples mots issus de ma pensée,
Je n’ai pas le moral, je voudrai le garder.

Parfois je me fais un monde des tâches ordinaires,
Quotidiennes, régulières, familières
Mais en réalité mon état actuel
N’est jusqu’à présent que du chagrin cruel,

Que la vie à chacun de nous réserve,
En plus ou moins grande quantité,
Du moins c’est ce que l’on observe.
IL n’y a pires maux que les chagrins d’amours,

On dit que pour certains ils durent pour toujours.
Dans mon cas, je voudrais à tout prix que tout cesse.
Surtout depuis ce jour oui je te vis déesse !
Le vécu de chacun, en soi est bien encré,

L’on à toujours peur de se faire des idées.
Alors on met des « si », « enfin peu-être « , des « oui mais »,
Tous ces faux arguments, qui au fond nous arrangent,
Depuis si longtemps que l’on est fermé

De s’ouvrir à quelqu’un, quelque part nous dérange.
Est-ce le fait de notre éducation ?
Par rapport aux quant dira-t-on ?
Si le fait n’est pas sûr, du moins il en découle.

A penser ainsi je crois qu’il y a foule
En vous quittant ainsi sur cette position
Je vous invite à réfléchir à la question.

Ut fata trahnt , Vade in pace

Henry Gérard MoineCopiste

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