Narration festive

Posted By on 7 mai 2006

Soirée du 6 mai…

Nous arrivâmes vers dix-sept heures
Un silence régnait sur la propriété…
À l’huis de la demeure,
Promptement je sonnais…

Aussitôt, comme à l’habitude
Nous fûmes vers les parkings guidés…
Au milieu, du thym, de la Rude,
Notre véhicule fût laissé…

Avec le benjamin de l’équipe
Ces dames, avons trouvé…
Parfum, belles robes, tuniques
Ainsi elles étaient parées …

Mais qui était la plus belle ?
Toutes, rayonnées de beautés…
La joie nous donna des ailes,
Mon cadet était enchanté …

Présentations faites,
Nous accolions les nouveaux invités,
Tous joyeux venus à la fête
Donnée ce samedi de Mai…

Une table des plus « confortable »
Emplie de belles denrées
Effaça, c’est incontestable
Le reste de timidité …

De musiques, d’images, de danses
La nuit ainsi donc, est passée…
Dans une joie intense
De franche et pure amitié…

Aux pâles lueurs de l’aurore le calme retombait…
Certains sans dormir la route reprenaient,
D autres prirent la peine, d’une paire d’heure, s’allonger
Un couple de téméraire alla chez le boulanger…

Le café embauma la chaumière,
À nouveau la table fut dressée…
À l’ouverture des paupières,
Nous prîmes un petit déjeuné…

Le temps, avec son caractère
Sournoisement nous a menés…
Mine de rien, sans en avoir l’air
À plus de Midi, bien sonné

Après longues et chaudes embrassades
Nous aussi l’endroit nous avons quittés
En pensant c’est inévitable,
Aux absents qui en furent privés…
Espérant qu’autour de la Table,
La fois prochaine je les verrais
Avec ces vers, je relate, pour eux, ce qui c’est passé…

Henry Gerard MoineCopiste © HGMC copyright 2006

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