Denise Myorelaxant

Posted By on 2 juillet 2010

Denise, Cerise, La crise…

(suite…)

Repas au Village d’Ouveillan

Posted By on 26 décembre 2009

Le ciel, d’encre bleue garnissant des pupitres d’antan, avait la profondeur et la nitescence hypnotique du Hope…

Les voies, les maisons peu à peu se paraient de guirlande, toutes différentes les unes des autres…

D’abord les grandes artères illuminées des standards municipaux, quasi invariables aux fils des ans…

Puis, sur les trottoirs des rues, la nouveauté communale, des sapins tous blancs ! Déjà dépouillés ça et là, de leurs parures scintillantes, par quelques olibrius en manque de sociabilité…

Suivant l’inspiration de chacun, les maisons de leurs atours, personnalisées par leur occupants, s’édifiaient chaque soir davantage…

C’était magique de le retrouver, aussi majestueux, un an d’attente pour l’admirer dans sa nouvelle allure…
Cela m’avait parut une éternité !

Décidément, cette soirée n’était pas ordinaire…

Pour le première fois de ma vie, déjà bien consommée, j’allais faire ripailles en ma douce citée, en compagnie de mes amis, amoureux de l’Art pictural, sans qu’il n’y ai un autochtone, à l’exception de le fille du restaurant, nouvellement ouvert, qui appartenait elle aussi au « clan » des coloristes corporels ….

Heureux en mon logis, j’attendais pendulaire, au rythme du jazz, l’arrivée de mes proches amis, qui le pinceau manient aussi.

Le noyau rassemblé, nous partîmes vers le restaurant fermé aux clients pour l’occasion !

Une soirée privé dans mon Village pour les amis des arts, sans tapage médiatique et non politisé ! Le rêve …

Quelle allégresse en mon cœur solitaire, cet intermède festif annonçait sous les meilleures augures la fin de l’année…

Transit de froid, nous entrâmes dans le petit restaurant, la pièces était étroite, toute en longueur certes, mais l’accueil fût grandiose et des plus chaleureux…

Le froid glacial extérieur, contrastait avec la conviviale chaleur des occupants…

Après moult saluts et embrassades, nous nous installâmes autour des deux longues tables rectangulaires, séparées par un étroit passage permettant l’accès à la porte donnant à l’extérieur, permettant ainsi, à ceux qui sont en amour profond avec dame nicotine d’aller quémander leurs doses sans nuire à autrui en se laissant glisser dans la froidure de la nuit sur la pente du vice …

Le coup d’envois fut donné, par Mélodie enchanteresse, joyeuse que sont orchestre soit quasi complet.

Le concert gastronomique pouvait commencer !!

En prélude, un Kir Royal nous fut offert…

Si les compositeurs, n’avaient pas été au diapason, le breuvage pallia la lacune !

Cléopâtre était là, note d’éternité !

Arlequin, clé de la « comédia del Arté » également !

Même Moët et Chandon, avec sa productrice tardivement arrivée, clôturèrent la gamme…

La revue culinaire pouvait donc commencer…

Les plats, tels des arpèges, passèrent de main en main, savourés sans façon ni retenues aucunes…

Au cortège des mets titillant les papilles, de joyeux quolibets furent échangés entre garçons et filles…

Toutes ces bonnes notes, grignotant la soirée, le final fût donné par un dessert sucré, accompagné pour les uns d’une infusion, pour d’autres d’un café bien corsé… !

La symphonie finit, le rideau est tombé, manteaux, vestes, écharpes furent bien ajustés, sous de grands «au revoir» la salle s’est vidée…

Le seul petit bémol, de toute la soirée, fut, que le lendemain il fallut travailler !

Henry Gérard MoineCopiste ©
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Un Moine m’a dit

Posted By on 29 août 2009

Un Moine m’a dit,
Invite ces gens-là,
Tu ne le regretteras pas
Le paradis, te sera acquis…
Aussitôt, m’a plume j’ai pris,
Beau billet leur ai transmit,
Afin de les mettre au fait que d’ici,
Je revenais en l’Abbaye-de-Fontcalvy…

Henry Gerard MoineCopiste © HGMC copyright 2006

A mon Acadienne d’amie

Posted By on 16 mars 2009


Condoléances


Ma’ n’est plus là, elle est avec Pa’ …
Très loin d’ici dans l’ode là
Des cieux tranquille,
Loin des tracas des villes…

Ma compassion pour toi est profonde
Pour tes deux êtres chers qui sont portés en tombe …
La vie a ses caprices, avec ces beaux atours,
Comme ça, sans rien dire elle nous prends, un jour ..

Sache ma douce amis que pour toi, j’ai grand peine
De n’être prés de toi, j’ai souvent de la haine …
Contre cet océan infini et violent,
Que lie nos amitiés entre nos continents…

Espérant que ces mots écrit à la sauvette
Nielleront nos affects malgré toutes ces tempêtes

A mon Acadienne d’amie …




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Toute ressemblance avec une personne, une création, existante ou ayant existé, ne serait que pure coïncidence !



Transmutation

Posted By on 23 février 2009

Mon univers, je le voulais pacifique…………

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L’abbé Claude Chérrier

Posted By on 17 janvier 2009

L’abbé Claude Chérrier mort en juillet 1738, à plus de 80 ans.
Est connu pour être l’auteur de Polissoniana ou recueil de Turlupinades (Amsterdam, 1722, nouvelle édition, 1722).
Cet ouvrage est un recueil de rébus, calembours et non de plaisanteries indécentes comme le titre semblerait l’indiquer ; cependant l’abbé Claude Chérrier n’y mit pas son nom.
On lui attribue encore « L’homme inconnu ou les Équivoques de la langue », dédié à Bacha Bilboquet (Dijon, 1713), réimprimé à la suite de «Polissoniana ».

Son ouvrage « Le chapeau pointu» qui lui valut à ses débuts des démêlés avec la police, a complètement disparu, vers 1725, il devint censeur de la police, chargé d’examiner les livres facétieux…

Description chimérique d’un être de raison, fabriqué de pièces rapportées, habillé d’une étoffe à double sens, lequel fût construit par une assemblée d’équivoques, assistées du génie burlesque. (1713)

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Mémoire de mataf

Posted By on 1 janvier 2009

À peine arrivée au port, en ces temps ancestraux,
seule la gueuse, les bistrots
nous procuraient moult repos…
Que de marées sont passées…
De tempêtes essuyées…
Après avoir bourlingué sur tous les océans…
Je navigue souvent dans les couloirs du temps.
J’ai laissé prestement, lesSM1 Tartar,
Pour les seringues les pansements et suppositoires…
De la vergue au verbe, ainsi je suis passé…
Par les mots maintenant je me laisse bercer…
En espérant chers amis ne point te perturber…
Je suis ravi d’avoir pu enfin vous retrouver !!
Ami d’un autre temps, devenu « Chouf Sorcier » !

Voir un SM1 Tartar



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Toute ressemblance avec une personne, une création, existante ou ayant existé, ne serait que pure coïncidence !



Saint Sylvestre 2008

Posted By on 31 décembre 2008

La journée touche à  sa fin… devant la cheminée,
Contemplant les volutes dorées et safranées,
Peu à  peu, dans la quiétude du logis, me pénètrent,
Annihilant le froid accumulé dans tout mon être

Durant ma journée en plein vent, au beau milieux
De ces ceps de vignes tortueux,
Dénudés depuis les premières blanches gelées,
De la parure d’arlequin qu’octobre en cadeau leur avait fait…

Mes idées vagabondent…
Hypnotique spectacle que ce brasier…
Je m’y laisse glisser,
Une douce torpeur m’inonde …

Les tumultueuses et éclatantes circonvolutions
Que les vieux ceps coupés en s’embrasant engendrent…
Attisent subtilement mes émotions …
En cette ultime soirée de décembre…

Quelle ironie du sort, ce labeur-ci, travailleur de la terre…
Planteur des vignes, qui après trente-six mois, de besogne austère..
Le nectar de Bacchus, entreprendront de produire!!
Illuminant les visages d’un semblant de sourire…

Car patiemment encore, quelques années durant,
Sa robe peu à  peu, lentement assemblant,
Sous la vigilance du grand maître de chais,
Dans le chêne cerclé, oeuvres des tonneliers …

Pour devenir le charme du palais,
Envoutant les papilles, que les mets délicats,
Déjà , si tendrement titillent…

Pareillement, aux fils des ans,
L’homme et le cep courbent avec le temps…
Leurs bras noueux, se détériorent …
Corrélativement leurs produits s’améliorent …

Le grand cru, qui lu cru ne naît pas chaque année…
Quelques-uns sont célèbres, d’autres sont ignorés …
Car certains sont bien nés, Bordeaux ou Beaujolais …
Les humbles les manants,

Les Corbières, les bons crus d’Ouveillan…
Ne fugueront pas dans les grands restaurants…
Mais comme ils sont fameux à  boire chez l’habitant …
Ils n’ont pas besoin de petit plats dans les grands …

Juste un cassoulet, des anguilles d’étang…
Entre amis, dans la salle commune d’une maison d’antan …
Au son de ces voix fortes, qui résistent aux vents..
Les rires chauds et truculents, de ces hommes des champs …

Voilà  comment mes fêtes étaient, il y a fort longtemps …
Grà¢ce à  toi solitude, tu les sors du néant …
Sans chichi, sans cotillons, au calme tout simplement…
Comme il va être doux ce soir le passage de l’an …

Henry Gerard MoineCopiste © HGMC copyright 2006

Breuvage matinal

Posted By on 29 décembre 2008

Amie, Naïs
Votre matinal salut me va droit au cœur,
Pour la journée, il m’a mis en ardeur,
Juste une remarque toutefois,
Une note d’humour sera de bon aloi
« Au petit matin emplis de rosé »
Pour un vigneron, la phrase est bien trouvée !
Une faute ? me direz-vous ?
C’est affaire de goût !
Le rosé est léger, surtout quand il est frais…
Le rouge est plus corsé, plus charmant au palais,
Royal, il accompagne les plus succulents mets
C’est un vin qui a du corps, un vin de guerrier !
Le rosé, plus délicat, aux dames fut réservé,
Sa robe est légère et transparente à souhait…
On ne voit au travers, il laisse deviner…
Il se boit sous tonnelle, les beaux soirs de juillet,
Quand tout le monde fête le Bastille tombée !
Il vous tourne la tête, comme les feux lancés…
Jusqu’au plus haut des cieux, pour tout illuminer !
Voilà ce que je sais des nectars de Bacchus,
Quant aux autres vins de couleurs, je n’en dirais pas plus


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Toute ressemblance avec une personne, une création, existante ou ayant existé, ne serait que pure coïncidence !

Compteur de lettres

Posted By on 29 décembre 2008

Sommes-nous censurés ??

Un compteur pour des conteurs,

Ce sont des comptes post-scriptum
De contes ad libitum !
Littérature rime avec censure !
Ces écrits subirent souvent la torture..
Scribe n’était donc pas une sinécure !!

Eux qui écrivaient par gravure
Pour que nous parvienne la culture !
Laissez le revolver à  la ceinture !
Le son des mots aux oreilles, chantant,
Est plus doux que les balles sifflant au vent

Henry Gérard MoineCopiste